Ce qu’il faut retenir : À Lyon, 64 % des résidents sont locataires, garantissant une demande constante. Pour un rendement, visez le 7e (5 000 €/m²) ou le 3e (5 300 €/m²) ; pour sécuriser votre capital, optez pour la Presqu’île (6 200 €/m²). Chaque quartier a son potentiel, à vous de choisir votre stratégie. Parlons de votre projet
Investir à Lyon, c’est facile, mais choisir le bon quartier, c’est une autre histoire, non ? Entre les 64 % de locataires lyonnais et une demande constante, la ville regorge d’opportunités… à condition de savoir où chercher. On vous guide pas à pas pour dénicher l’opportunité idéale, qu’il s’agisse d’un rendement rapide dans le 3ᵉ arrondissement (Part-Dieu) ou d’un patrimoine serein sur la Croix-Rousse. Préparez-vous à découvrir les quartiers qui allient rentabilité, charme et projets urbains d’avenir, avec des prix au mètre carré allant de 4 500 € à 6 400 € selon vos objectifs !
- Lyon, le terrain de jeu idéal pour votre investissement locatif
- Rendement ou patrimoine : quelle est votre stratégie d’investissement ?
- Les quartiers champions du rendement locatif
- Les quartiers pour un investissement patrimonial sûr et pérenne
- Les zones à aboder avec prudence : nos conseils pour éviter les pièges
- En bref : les points clés pour réussir votre investissement à Lyon
Lyon, le terrain de jeu idéal pour votre investissement locatif
Vous hésitez à franchir le pas de l’investissement immobilier ? Lyon vous tend les bras ! Avec 64 % des résidents lyonnais locataires, la demande locative y est constante. Mais attention : pour ne pas se perdre dans ce marché dynamique, mieux vaut connaître ses codes.
Classée deuxième pôle économique français, Lyon profite d’un tissu industriel solide (biotech, santé, numérique) et d’une population en croissance. L’immobilier ancien, souvent sous-estimé, cache pourtant des pépites. L’investissement locatif dans l’ancien à Lyon offre un cachet et un potentiel de valorisation unique, à condition de bien choisir son quartier.
« Avec une demande locative soutenue et une croissance continue, Lyon est un marché où l’on peut encore trouver de belles opportunités, à condition de bien connaître ses quartiers. »
Concrètement : faut-il miser sur le charme du Vieux Lyon ou sur l’effervescence de Confluence ? Prioriser le patrimoine historique ou les projets d’avenir ? On vous guide pour transformer cet investissement en succès, sans vous perdre dans des généralités.
À la clé : des conseils concrets sur les quartiers à potentiel, les pièges à éviter, et les tendances qui vont faire évoluer le marché. Direction les zones stratégiques de Lyon pour un rendement optimisé !
Rendement ou patrimoine : quelle est votre stratégie d’investissement ?
Investir à Lyon, c’est choisir entre deux stratégies claires.
Soit vous privilégiez un rendement immédiat, en ciblant des studios ou T2 dans des quartiers avec une forte rotation locative. Soit vous misez sur un patrimoine durable, en sélectionnant des biens dans des secteurs de prestige ou en développement, avec un gain progressif mais garanti.
Concrètement : un studio à Gerland (5 000 €/m²) profite d’une demande étudiante et de jeunes actifs, avec un loyer moyen de 650 €/mois. Un T3 à la Presqu’île (7 500 €/m²) attire des cadres exigeants, garantissant un loyer stable autour de 1 800 €/mois, avec une revente facilitée grâce à la rareté des biens de standing.
Le choix du quartier se joue sur 4 leviers essentiels :
- La desserte en transports en commun : un critère non négociable pour les locataires, surtout pour les déplacements domicile-travail.
- La vie de quartier : présence de commerces, écoles, espaces verts qui influencent la qualité de vie et la durée des baux.
- Le profil des locataires : étudiants, jeunes actifs, familles, cadres… Vos attentes financières (flux régulier vs plus-value) et la gestion locative (rotation vs stabilité) guident votre cible.
- Les projets d’urbanisme à venir : l’arrivée d’une nouvelle station de métro ou d’un pôle économique peut faire grimper la valeur immobilière de 10 à 15 % en quelques années.
À Lyon, le rendement s’obtient dans des secteurs accessibles comme Gerland (5 000 €/m²) ou Part-Dieu (5 300 €/m²), où les loyers sont bien calibrés. Le patrimoine se construit dans des zones premium comme Vieux Lyon (4 500 €/m²) ou Confluence (6 400 €/m²), où la demande reste tendue.
À vous de jouer : votre stratégie trace votre itinéraire !
Les quartiers champions du rendement locatif
À Lyon, certains quartiers se distinguent pour leur potentiel locatif élevé. Ces zones offrent un équilibre idéal entre prix d’achat accessibles et demande locative soutenue. Focus sur deux secteurs incontournables pour maximiser vos revenus.
Le 7ème arrondissement : le pari de la jeunesse et de l’innovation
Le 7e arrondissement, anciennement industriel, est devenu un pôle universitaire majeur grâce à l’Université Lyon 1 et l’EM Lyon. 69,8 % des résidences principales y sont des logements locatifs (Insee 2019), avec un prix moyen de 5 000 €/m². Un studio y génère un rendement brut de 4,5 % en vide, jusqu’à 5,5 % en LMNP. Ce dispositif, associé à des avantages fiscaux, réduit l’imposition sur 10 ans.
Le quartier attire étudiants et jeunes actifs, avec une concentration d’établissements universitaires comme l’Institut de Biologie et Chimie des Molécules et de l’ADN. Les résidences étudiantes comme La Résidence Opale illustrent la demande soutenue. Privilégiez les biens proches des métros Debourg ou Garibaldi, desservant le campus. Investir dans le 7e à Lyon est stratégique pour les petits budgets, avec des friches rénovées en logements modernes. Ce secteur profite aussi des investissements publics comme les aménagements du Parc de la Tête d’Or, renforçant son attractivité.
Le 3ème arrondissement : au cœur du poumon économique
Le 3e abrite la Part-Dieu, deuxième centre d’affaires de France, avec des entreprises majeures comme Eurasanté ou Siemens Healthineers. Les prix tournent autour de 5 300 €/m², avec des loyers jusqu’à 25 €/m² pour les biens modernes. La demande est forte pour les studios (rendement jusqu’à 5,76 %) et T4 (4,73 %). Évitez les immeubles près de la gare pour limiter les nuisances.
Les programmes neufs, labellisés Bâtiment Basse Consommation (BBC), attirent une clientèle exigeante. Investir à Lyon 3 garantit une faible vacance locative, renforcée par le projet d’extension du tramway T8 (2026) et le futur Grand Projet de l’Ouest lyonnais (2030). Ce dernier reliera les pôles économiques, consolidant la Part-Dieu comme pôle incontournable pour les actifs. Les familles recherchent aussi ce quartier pour son équilibre entre vie professionnelle et résidentielle, avec des logements comme le programme Le Cœur de Ville qui mixent commerce et habitation.
Les quartiers pour un investissement patrimonial sûr et pérenne
Si vous cherchez à investir dans l’ancien à Lyon pour la durée, deux secteurs se détachent par leur stabilité et leur cachet historique. Pas question ici de chasser les rendements immédiats, mais bien de miser sur la valeur sûre. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : ces zones résistent aux crises et attirent une clientèle exigeante prête à payer pour la sécurité d’un emplacement d’exception.
La Presqu’île (1er et 2ème) : le cœur historique et prestigieux
Ici, le prestige est roi. Entre les rues piétonnes et le Rhône, la Presqu’île incarne l’ADN lyonnais avec ses immeubles haussmanniens et ses appartements de caractère. On y croise des cadres expatriés, des familles aisées, ou des investisseurs avisés prêts à payer le prix pour un bien en cœur de ville.
Les prix tournent autour de 6 200 €/m², parfois jusqu’à 7 500 €. Mais cette prime s’explique : la vacance locative y est quasi inexistante. Un investissement dans le 2ème arrondissement reste un pari gagnant pour qui veut un patrimoine de prestige.
Les profils recherchés ? Des appartements de réception traversants, avec de belles hauteurs sous plafond. Même si la rentabilité locative semble modeste, la revente reste ultra-solide. Investir dans le 1er arrondissement offre cette même tranquillité d’esprit, avec un cachet historique renforcé par le Vieux Lyon.
La Croix-Rousse (4ème) : l’esprit village en pleine ville
Autre pilier patrimonial : la Croix-Rousse. Ce quartier, surnommé « la colline qui travaille », mélange histoire industrielle et modernité bobo. Autrefois quartier des canuts, il conserve des appartements atypiques avec des plafonds de 4 mètres et des fenêtres XXL.
Les familles et jeunes cadres y viennent pour son ambiance village, ses commerces d’artisans et ses vues panoramiques. Le prix moyen, à 5 700 €/m², reste plus abordable que la Presqu’île, tout en offrant une valorisation progressive.
Choisir un quartier patrimonial, c’est accepter une rentabilité de départ plus modeste pour s’assurer une valorisation quasi certaine et une tranquillité d’esprit sur le long terme.
Les T3-T4 y sont très demandés, surtout ceux rénovés dans l’esprit canut. Attention cependant aux contraintes : l’isolation reste un défi avec ces grandes ouvertures, et certains immeubles sont classés UNESCO. Mais le jeu en vaut la chandelle pour qui veut un bien qui ne se démode pas.
| Quartier | Prix moyen / m² (ancien 2025) | Profil locataire principal | Objectif d’investissement | Notre conseil |
|---|---|---|---|---|
| Presqu’île (1er/2e) | 6 200 € | Cadres, Expatriés | Patrimonial | La sécurité avant tout, vacance locative quasi inexistante. |
| Part-Dieu (3e) | 5 300 € | Jeunes actifs, Cadres | Rendement / Mixte | Forte demande grâce au pôle économique, idéal colocation. |
| Croix-Rousse (4e) | 5 700 € | Familles, Cadres | Patrimonial | Fortes qualité de vie, appartements de caractère (Canuts). |
| Gerland (7e) | 5 000 € | Étudiants, Jeunes actifs | Rendement | Le meilleur potentiel de rentabilité, idéal LMNP. |
| Vieux Lyon (5e) | 4 500 € | Touristes, Étudiants | Mixte / Locatif meublé | Cachet historique unique mais attention à la réglementation. |
Pour guider votre choix à Lyon, voici les quartiers clés. La Presqu’île garantit sécurité, tourisme. Gerland, rentabilité étudiante. La Croix-Rousse, à 5 700 €/m², pour investissements durables. À vous de jouer !
Les zones à aboder avec prudence : nos conseils pour éviter les pièges
Investir à Lyon, c’est miser sur une ville dynamique. Mais attention : tous les quartiers ne se valent pas. On ne va pas se mentir, certains secteurs demandent plus de vigilance pour éviter les mauvaises surprises.
Guillotière, par exemple, attire pour ses prix abordables et sa proximité des universités. Mais autour de la place Gabriel-Péri, les nuisances sonores, l’insécurité et les squats en font un choix délicat pour un investisseur novice. Résultat : des locataires moins stables, une revente compliquée, et des travaux parfois inévitables.
Et ce n’est pas tout. Les « passoires thermiques » (DPE F/G) deviennent des bombes à retardement. Depuis 2025, les DPE G sont interdits de location. En 2028, ce sera au tour des DPE F. En clair, un bien mal évalué aujourd’hui peut devenir invendable demain.
- Un prix au m² anormalement bas par rapport aux rues voisines.
- Une forte proportion de logements vacants dans l’immeuble ou la rue.
- Un DPE classé F ou G nécessitant des travaux énergétiques coûteux.
À Lyon, l’accompagnement local fait toute la différence. Un expert du secteur vous évite de tomber dans ces pièges. Il connaît les micro-zones à fuir, les rénovations prioritaires, et les subventions disponibles. Parce qu’investir dans l’ancien, c’est aussi savoir éviter les faux-bons plans.
En bref : les points clés pour réussir votre investissement à Lyon
Concrètement, comment identifier le bon quartier à Lyon ? Suivez ces 3 étapes. D’abord, définissez votre objectif : recherchez-vous un rendement rapide (location meublée) ou un placement sécurisé (patrimoine) ? Confluence (6 400 €/m²) ou la Presqu’île (6 200 €/m²) sont idéaux pour ces profils.
Ensuite, analysez le quartier comme un local. Priorisez les zones proches métro, universités (comme Gerland) ou pôles économiques (Part-Dieu). Évitez les gares bruyantes, mais misez sur la proximité des commerces.
Enfin, ciblez votre locataire type. Un studio à Gerland (5 000 €/m²) attire étudiants et jeunes actifs, un T3 à La Croix-Rousse (5 700 €/m²) convient aux familles. Adaptez le bien : performance énergétique, balcon ou accès écoles.
Vous avez les bases pour démarrer. À Lyon, le 9e arrondissement (4 000 €/m²) recèle du potentiel. Et pour un projet unique, un expert local évite les erreurs.
Prêt à concrétiser ? Échangeons sur votre projet. À Lyon, l’immobilier se saisit avec stratégie… pas au hasard !
Alors, prêt à vous lancer à Lyon ? Retenez trois choses : définissez clairement votre objectif (rendement ou patrimoine), choisissez votre quartier en fonction de ses atouts et anticipez les attentes de vos futurs locataires. À Lyon, chaque euro investi peut porter ses fruits si vous le guidez bien. Prêt à concrétiser votre projet ? Parlons-en !
FAQ
Quel quartier choisir pour investir à Lyon ?
Pour bien investir à Lyon, tout dépend de votre stratégie. Si vous visez un rendement rapide, le 7e arrondissement (Gerland) est parfait : entre 4 500 et 5 000 €/m², une forte demande étudiante et un potentiel LMNP. Pour un placement patrimonial, la Presqu’île (1er/2e) est incontournable avec des prix autour de 6 200 €/m², mais une valeur sûre. Le 3e (Part-Dieu) offre un bon mixte, entre rendement et stabilité, avec des loyers soutenus par les cadres et étudiants. À Lyon, c’est clair : définir votre objectif avant de se lancer, c’est déjà la moitié du succès !
Où s’installer à Lyon selon vos besoins ?
Si vous cherchez un quartier sympa pour poser vos valises, tout dépend de votre style de vie. Les familles adorent la Croix-Rousse (4e) : ambiance village, appartements Canuts et écoles en prime. Les jeunes actifs s’épanouissent à Confluence (2e), hyper-moderne avec ses balcons et terrasses. Pour les expatriés, le Brotteaux (6e) ou la Presqu’île sont des classiques, avec leur côté chic et sécurisé. Et si vous rêvez de verdure, Saint-Just (5e) offre des vues imprenables et un calme rare. À Lyon, chaque quartier a son âme. Trouvez le vôtre !
Quels sont les quartiers à surveiller à Lyon ?
Pour un investissement malin, deux profils se distinguent à Lyon. Le 9e arrondissement (Monplaisir Sud) séduit avec des prix abordables (autour de 4 000 €/m² et un potentiel de valorisation. Le Vieux Lyon (5e), entre 4 200 et 4 500 €/m², allie cachet historique et demande touristique. Les deux offrent un bon équilibre entre rentabilité et attractivité. En 2025, ces zones montantes méritent qu’on y pose un œil. Privilégiez les biens en bon état énergétique pour éviter les mauvaises surprises, surtout avec les nouvelles règles sur les passoires thermiques.
Où investir 100 000 € à Lyon ?
Avec 100 000 €, vous pouvez viser un studio à Gerland (7e) ou le 9e arrondissement. Là-bas, vous trouverez des surfaces de 20 à 25 m², idéales pour un LMNP étudiant. Attention tout de même à la localisation : privilégiez les zones proches du métro et des campus. Si vous préférez une résidence principale, Monplaisir (8e) propose des T2-T3 pour ce budget, avec balcon et jardin parfois. C’est un budget accessible pour un premier achat, mais vérifiez toujours le DPE du bien. Un classe F ou G, c’est un risque de location bloquée à l’horizon 2028.
Quels quartiers éviter pour investir à Lyon ?
Pas de « mauvais » quartier, mais des zones à aborder avec les yeux ouverts. La Guillotière (7e) reste contrastée : entre le côté vivant du quartier étudiant et certaines rues à fuir pour des nuisances. La Duchère (9e), en transformation, reste risquée pour un premier achat. Et si vous entendez des sirènes plus souvent que le chant des oiseaux, c’est peut-être le signe d’un secteur à éviter. L’idéal ? Visiter à différentes heures pour sentir l’ambiance. Un coup de fil à la mairie ou à un agent immobilier local, ça coûte rien et ça évite bien des déconvenues.
Quel est le quartier le plus agréable à Lyon ?
Lyon, c’est un peu la ville des 1001 ambiances. Si on devait en retenir un, la Croix-Rousse (1er/4e) serait notre chouchou : entre ses rues pavées, ses cafés sympas et sa vue sur la Saône, c’est le genre d’endroit où on a envie de flâner. Le Vieux Lyon (5e) est aussi un bijou, avec ses traboules et sa pierre dorée. Pour une ambiance plus branchée, direction Confluence (2e) et ses bâtiments futuristes. L’essentiel ? Choisissez un quartier qui vous ressemble, avec des commerces, de la verdure et un accès aux transports. À Lyon, le bonheur tient parfois à un café en bas de chez soi.
Où vivre à Lyon en 2025 ?
En 2025, Lyon continue de se transformer. Le 3e arrondissement (Part-Dieu) reste un incontournable pour les actifs, avec ses nouveaux programmes et son pôle d’affaires. Le 7e (Gerland) attire les jeunes pro, grâce à son dynamisme universitaire et ses loyers attractifs. Pour un cadre de vie équilibré, le 8e (Monplaisir) monte en flèche, avec ses pavillons et son accès au Parc de la Tête d’Or. Et pour les amoureux de l’ancien, le Vieux Lyon (5e) garde son charme unique. En résumé, l’immobilier lyonnais reste une valeur sûre, à condition de viser juste.
Où résident les expatriés à Lyon ?
Les expats à Lyon, on les retrouve surtout dans les quartiers chics et bien desservis. Le Brotteaux (6e) est un classique : immeubles haussmanniens, commerces de qualité, et une sécurité rassurante. La Presqu’île (1er/2e) est aussi très prisée pour son côté central et cosmopolite. Confluence (2e) monte en flèche, avec son architecture audacieuse et sa clientèle CSP+. En bref, les expatriés cherchent le confort moderne, les espaces verts et l’accès aux bons établissements scolaires. Si vous rêvez d’un 3 pièces ensoleillé avec une école internationale à proximité, prévoyez le budget.
Quel est le quartier le plus chic de Lyon ?
Pour du premium, le Brotteaux (6e) et les Brotteaux Sud (5e) font figure de référence. Ici, les appartements anciens de standing côtoient des résidences neuves sécurisées. Vous y croiserez des cadres et expatriés prêts à payer pour la tranquillité. La Presqu’île, entre Bellecour et les Terreaux, reste aussi une valeur sûre avec ses belles pierres et ses commerces de luxe. Les prix y flirtent avec les 7 500 €/m², mais la demande est éternelle. En résumé, si vous cherchez un cadre digne des magazines déco, ces quartiers sont vos alliés. Juste un conseil : prévoyez une cave pour les bouteilles du Rhône.
